du 18 aout 2007.*
A chaque fois je pleure. Parce que je t'aime tant. Et je ne peux pas te le dire. Pas te le montrer. Je ne peux pas te prendre dans mes bras, te donner ma tendresse... J'aimerai tellement qu'il n'y ait pas cette putain de barrière. Je sais pas comment la casser. J'aimerai être une petite fille comme avant, quand on se gênait pas. Pourquoi on a laissé s'installer ces murs ? Mais pourquoi puisqu'ils font si mal. Pardon, je t'aime si fort. T'es une merveille. Le plus doux et le plus sensible. Je pense à toi et je pleure. Tu es ma seule vraie tristesse, mon seul regret, ma seule vraie douleur. Je n'arrive pas à te rendre heureux et fier. Et j'ai abandonné. Car mes envies voilaient totalement les tiennes. Alors qu'on se ressemble tant au fond. J’ai oublié qui j'étais. Et maintenant, voilà que je n'arrive plus à te parler. Y a plus les mots, y à même plus les yeux. Y a plus que la douleur et les regrets. On est comme deux bonhommes de bois, tout coincé. Tous les deux perdus, avec notre grand amour pour chacun.*